Robert Jackson, procureur en chef pour les États-Unis, commence la lecture de l’acte d’accusation au nom de la civilisation.
«Les crimes que nous cherchons à condamner et à punir ont été si prémédités, si néfastes et si dévastateurs, que la civilisation ne peut tolérer qu’on les ignore, car elle ne pourrait survivre à leur répétition. Que quatre grandes nations, exaltées par leur victoire, profondément blessées, arrêtent les mains vengeresses et livrent volontairement leurs ennemis captifs au jugement de la loi, est l’un des plus grands tributs que la force paya jamais à la raison».
Source:
Retranscription du Procès de Nuremberg, Volume I / Traduction de l'anglais et compilation par Sergueï Mirochnitchenko
























